Conformément à la législation et la réglementation en vigueur, Nativ.eu a l’obligation de vous informer sur l’utilisation de cookies sur son site internet. L’utilisation de cookies est essentielle pour le fonctionnement de notre site internet. Pour pouvoir utiliser celui-ci, des cookies sont sauvegardés. Vous pouvez supprimer ou bloquer à tout moment les cookies de ce site, mais certaines parties du site ne fonctionneront alors plus de manière optimale.

Information, janvier 2018

 

Quand E-globalcom.net devient Nativ.eu

L'humain avant le réseau

 

Le bureau de traduction Global Communication, plus connu sous l'intitulé URL de son site
E-globalcom.net, s'appelle désormais Nativ.eu. Un changement de nom par lequel Global Communication souhaite remettre sur le devant de la scène les hommes et les femmes qui travaillent derrière leur ordinateur et montrer que les « native speakers » spécialisés restent essentiels pour des traductions de qualité. Malgré les désormais incontournables « disruption numérique » et « intelligence artificielle ».

 

Le bureau de traduction Global Communication a été fondé voici 25 ans par Walter Weyne et est devenu aujourd'hui le partenaire attitré de nombreuses entreprises tant locales que multinationales. Ce bureau de traduction a été une des premières agences de communication à opter résolument dès le début pour l'Internet pour proposer ses services linguistiques et a fait œuvre de pionnier à partir des années 90 en créant une plateforme en ligne globale pour ses clients et ses traducteurs : E-globalcom.net. En 2005 déjà, Unizo, l'Union Belge des Entrepreneurs Indépendants, récompensait E-globalcom.net comme premier site d'e-business de l'année pour sa plateforme révolutionnaire gérant intégralement le processus de traduction et intégrant judicieusement les nouvelles possibilités technologiques afin d'améliorer constamment la qualité et la fiabilité de ses services. Pas évident dans un monde où tout va toujours plus vite.

 

Une concurrence effrénée

 

Un grand nombre d'acteurs ont depuis fait leur apparition sur le marché mondial de la traduction, sans toutefois atteindre, pour la plupart, ce niveau de qualité et de fiabilité. L'Internet foisonne dorénavant de services de traduction en ligne, aux offres toujours plus rapides et toujours meilleur marché, mais le résultat est, hélas, aussi souvent à l'avenant. Sans parler des escrocs qui essaient de vendre des traductions effectuées gratuitement par des machines en prétendant qu'elles émanent de spécialistes … La prudence est donc plus que jamais de mise.

 

Des robots en coulisses ?

 

En 2017, Google a lancé à grand renfort de publicité une nouvelle version de son robot traducteur Google Translate et un mois plus tard, la petite société allemande DeepL prétendait pouvoir faire encore mieux. En pratique, tout dépend du sujet, de la combinaison de langues et du niveau de difficulté (pour ne pas dire de simplicité) du texte. Tout le monde connaît quelqu'un qui s'est un jour laissé tenter par une telle traduction automatique avec bien souvent un résultat amusant, mais aussi parfois catastrophique.

 

De la théorie à la pratique, du rêve à la réalité et de la science à la fiction, le fossé est grand, mais une fois que les logiciels neuronaux parviendront à mémoriser, voire apprendre des mots, nous n'en serons alors probablement qu'au début d'un véritable bouleversement social avec des systèmes informatiques inspirés par la structure et le fonctionnement du cerveau humain et, à terme, capables de l'imiter. Selon les prévisions les plus répandues, ces systèmes connecteront bientôt notre réfrigérateur, notre machine à café et notre voiture les uns aux autres, au sein d'un « Internet of things ». De quoi alimenter le rêve d'une 4e révolution industrielle, avec le même impact que la machine à vapeur, le moteur à combustion ou la mondialisation ont eu en leur temps.

 

L'humain derrière la machine

 

« Dès qu'une technologie peut apporter quelque chose, on la qualifie d'intelligente. En soi, un superordinateur rempli d'intelligence artificielle s'apparente plus à une sorte d'idiot savant, un érudit qui connaît tous les faits, mais est incapable de les interpréter. Pas vraiment le genre de profil sur lequel un bureau de traduction peut compter, nos clients ne voulant que les meilleurs traducteurs ! », explique encore Walter Weyne. « Il est clair qu'il y a deux poids, deux mesures : un thermostat avec un capteur est appelé intelligent, mais comment appelle-t-on un ingénieur qui n'a jamais obtenu aucune distinction ? Alors que l'on s'extasie devant chaque mot juste trouvé par l'ordinateur, le traducteur est sanctionné – à juste titre – à la moindre erreur ».

 

Compte tenu de cette (r)évolution technologique, le nom E-globalcom.net semblait dépassé aux yeux de Walter Weyne. « Il était temps de rétablir l'honneur du traducteur en chair et en os, le « native speaker » spécialisé capable de comprendre et de traduire correctement et fidèlement le message du client. Et c'est ainsi que nous en sommes arrivés à Nativ.eu (prononcez : native you) : votre « native speaker » ! Enfin un nom facile à retenir. »

 

Que nous réserve l'avenir ?

 

Le fait que Nativ.eu remette le traducteur sur le devant de la scène et accorde une importance accrue à la plus-value que celui-ci apporte par rapport à une technologie impersonnelle ne signifie pas pour autant qu'il délaisse les possibilités technologiques. Walter Weyne : « Au contraire, nous restons des pionniers et plaidons pour une application intelligente de toutes les nouvelles possibilités par les traducteurs les plus intelligents. Pour moi, c'est clair : l'avenir sera hybride. Ou, comme le dit si bien le professeur Steven Van Belleghem de la Vlerick Business School : « when digital becomes human ». »